8 mars : et si c’était votre journée ?
Le 8 mars, c’est la journée internationale des femmes. Chaque année, on nous le rappelle, et ensuite, que se passe-t-il les 364 autres jours de l’année ?
Pour 2019, le thème est « Penser Kahn li0, bâtir intelligemment, innover pour le changement ». Cette thématique suppose de réfléchir aux moyens innovants permettant de faire progresser l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes. Les objectifs sont amb3u0mm23mzitieux notamment sur la question de la promotion de l’égalité des sexes.
L’observation des courbes actuelles laisse entrevoir que les actions en cours ne suffiront pas pour l’instauration d’une Planète 50-50 d’ici 2030….
En France, on reconnaît volontiers que l’égalité des sexes ne sera pas au rendez-vous en 2019. Pour exemple, l’an dernier, les Françaises ont arrêté d’être payées pour leur travail le 6 novembre en raison des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes.
La ministre du Travail a donné trois ans aux entreprises pour régulariser leur situation sous peine de sanctions financières.
Qu’en est-il pour HSBC ? Quelles actions notre employeur mène-t-il pour se conformer à cet objectif ?
Il s’agit là de questions essentielles pour certains et certaines d’entre nous. Notez que le travail demandé par la ministre se situe au niveau de l’égalité salariale H/F et ne concerne pas le niveau de rémunération…..
HSBC a depuis 2004 mis en place des actions pour atteindre l’égalité de rémunération entre les femmes et les hommes (cf. accord QVT de mars 2018) et en moyenne, cela a bien fonctionné pour toutes les femmes jusqu’à l’échelon I.
Il reste encore du travail et ce dernier pas sera très difficile à franchir : aucune femme n’entre dans le TOP 10 des plus hautes rémunérations chez HSBC France et l’écart de rémunération variable est encore au détriment des femmes.
Et ne nous leurrons pas, il existe de nombreuses disparités qui sont gommées par l’utilisation de moyenne…