Réunion d’échanges sur le télétravail
Voici les points clés de la réunion d’échanges sur le travail à distance (expression appelée à remplacer « télétravail » selon la Direction).
La Direction poursuit ses réflexions et arrêtera ses positions lorsque le Groupe aura lui-même édicté ses principes. Ses positions vaudront pour l’ensemble de l’Europe continentale.
La Direction souligne qu’il ne s’agit pas d’un sujet « immobilier » (économie de coûts fixes). Le terme clé est « flexibilité » : le télétravail régulier ne veut plus rien dire, il faut raisonner par rapport à un maximum mensuel qui pourrait être de 12 jours (pour un salarié à temps plein) afin de maintenir un lien social suffisant par une présence minimale sur site.
Le rôle du manager sera clé dans la mise en œuvre du travail à distance caractérisé par la flexibilité.
Il faut bien sûr que les tâches soient réalisables à distance.
Le télétravail durant le confinement, mené de front avec « l’école » des enfants et les tâches familiales ne constitue pas une forme normale de travail à distance qui doit sauvegarder le niveau normal de productivité observé sur site.
Afin d’élargir le travail à distance à un maximum de collaborateurs, l’appréciation préalable du degré d’autonomie du collaborateur est cruciale.
Une fois les réflexions du Groupe et de la Direction France menées, une négociation pourrait être ouverte, au plus tôt à la rentrée pour élaborer un avenant à l’accord de 2018 à durée déterminée (échéance au printemps 2022)